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Les Flottins 2021

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Vendredi à Evian, la magie était au rendez-vous avec l’ouverture officielle du Fabuleux Village. Décors dans les rues de la Ville, décors sur le quais notamment les fleurs en bois faites par les enfants des écoles du canton. Les Flottins, ce sont les contes, c’est également l’ambiance lumineuse d’un village voire d’une ville qui plonge ses habitants un mois durant, dans le monde féérique de Noël. Il ne faut pas oublier l’axe central de cette animation, la tanière, lieu de partage où chacun peut déguster marrons chauds, la tartine des Flottins, l’élixir ou un chocolat chaud. Vendredi soir, Véronique Busca-Planchamp et Cathy Cherrak étaient à la tanière offrant aux visiteurs les produits cités précédemment.

Lundi, quatre adhérents du club étaient à pied d’oeuvre. Tout d’abord à 14 h 45, Josette Cachat et Dominique Crouvizier ont, pendant deux heures, coupé les châtaignes et à 17 heures, Evelyne et Philippe Neyrolles sont venus prendre leur relève. Tandis que Philippe continuait à préparer les châtaignes, son épouse tenait la tanière proposant aux gens de goûter aux divers produits.

Merci aux six bénévoles de leur implication. D’autres vont suivre ces jours prochains.

La famille Réalis à Sion

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Huit jours après l’Escalade à Genève, la famille, au complet, s’est rendue à Sion pour participer à la corrida de la ville. Un tour de ville d’un kilomètre à parcourir plusieurs fois selon l’âge. La neige tombée la veille a contraint les organisateurs à dérouler un beau tapis rouge pour éviter toutes chutes graves. C’est Maéline, la petite dernière de la famille qui a ouvert les hostilités se classant 40e en 9’38. Puis Cassandra, sa soeur aînée, a effectué trois tours, terminant 5e en 11’53″9. Après les filles, ce fut Emilie, la maman, qui en a décousu pendant cinq kilomètres, prenant la 36e place des dames en 25’18″1. Ses « femmes » ayant fini de souffrir, c’est Gabriel qui s’est élancé, échouant au pied du podium de masters hommes. Il finit 4e en 25’04″3 après sept tours de ville. Un parcours composé à 50 % de côtes et qui, dans son ensemble, n’était pas si facile que çà, selon les dire du chef de famille.

 

Un petit resto pour le groupe à Pedro

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Mardi soir, 23 compétiteurs adultes se sont réunis, tout comme le groupe Diésels, au restaurant le Zaino, pour déguster ses produits italiens (Risotto – Pâtes – Pizza), dans la bonne humeur et tout ça, sous l’oeil bien vaillant de l’initiateur de cette soirée Pedro Pinto à qui on souhaite un prompt rétablissement suite à son opération à l’épaule après une chute.

Margot, une reine bronzée

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Margot Guepratte, étudiante à Montpellier en droit , était ce jeudi à Dijon, où elle prenait part aux championnats de France de cross universitaires par équipe mixtes. Première course dans la catégorie espoir, avec au programme, 6 kilomètres à couvrir. La jeune fille était en concurrence avec des athlètes plus âgées qu’elle (7 ans de plus!). Un parcours parsemé de petites côtes, de relances. Un tracé technique où elle ressent les derniers entraînements effectués avant cette échéance. Margot se classe 25e, toutes catégories confondues, en 21’05. Une course qui lui permet d’analyser le travail qu’il lui reste à accomplir avant les échéances fédérales prévues en janvier prochain. Satisfaite de sa prestation, Margot, de par les résultats de ses coéquipiers et des siens, a eu la joie de monter sur le podium national en décrochant une belle médaille de bronze collégiale. Une saison « espoir » qui s’ouvre de la plus belle des manières.

A noter que Margot n’était pas la seule à briller en Bourgogne. Titouan Haan, ancien athlète d’Off Course, depuis licencié à Décines, est devenu champion de France universitaire avec Lyon. Une fierté qui a ravi le coach Pascal Crouvizier.

Podiums et satisfactions à la 43e course de l’Escalade

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Covid oblige, les restrictions à l’entrée des Bastions étaient appliquées à la lettre par un service sanitaire très efficace. Contrôle des pass, contrôle de la carte d’identité et attribution d’un bracelet pour circuler à travers les stands et, surtout, pour accéder au podium. Pas de bracelet, pas d’accès!

Si la veille, les participants adultes ont été très arrosés, la pluie a fait une apparition timide ce dimanche martin. Un peu frisquet à notre arrivée, les conditions ont changé au fil des heures jusqu’à la venue du soleil au moment de la course élites et de la remise des prix dès les catégories écoliers A.

Disputée sur deux jours, cette 43e édition a connu, certes, un succès, mais avec un taux de participation réduit de moitié. Les délais d’inscription ont connu le même sort. Avec seulement 13 jeunes engagés, les résultats obtenus sont restés sur la même continuité enregistrée depuis le début de saison, celle de la performance. Après Lausanne, puis Thonon, la jeunesse d’Evian Off Course s’est montrée à nouveau combative en s’octroyant sept podiums à la course de l’Escalade.

Dès midi, départ des 535 écolières B10. Axelle Rochette, seule engagée, a pris le 330e rang en 14’32 après une course de 1736 mètres.

Trente minutes plus tard, ce sont 485 écolières B11, équivalant aux benjamines, qui se sont élancées sur 2341 mètres avec deux bons résultats pour les jeunes évianaises. Tout d’abord, Théana Leite termine 18e en 10’28 et, Zali Dutruel finit 60e en 11’56. Elles avaient du monde derrière elles!

Dix minutes plus tard, ce sont 463 benjamins qui leur ont emboîté le pas sur la même distance. Seul garçon d’Off Course, Nathanaël Piette se classe 230e en 11’52. Les courses s’enchaînent. Pas de minimes filles du club engagées.

Minime première année, Hugo Mas, lui aussi seul au départ d’un peloton qui compte 522 unité, va très bien sortir son épingle du jeu en prenant une belle 5e place en 8’22. Le sérieux aux entraînements fini toujours par payer! C’est avec fierté que le jeune homme monte sur le podium, déjouant les pronostics.

Une demie-heure plus tard, ce sont les minimes filles 2, les cadettes et juniores 1ère année qui sont au départ pour 2341 mètres de course. Dès l’entame de l’épreuve, le rythme est donné. Les cinq évianaises en lice, font quasiment jeu égal avec la tête de course. Le parcours est un serpentin qui ne laisse pas de répit. Il faut être attentif à toutes accélérations. Les cadettes l’ont bien compris et on assiste à un formidable tir groupé des représentantes d’Off Course chez les cadettes B avec une mention pour Alice Vaudaux 4e en 9’12, échouant à deux secondes de la troisième place. Aricia Glauser, dont on remercie le papa Jean-Marie pour son hospitalité en accueillant les jeunes au conservatoire, endroit chauffé et où les athlètes pouvaient se changer et déposer leurs affaires, a terminé au 6e rang en 9’20, suivie de Cassandra Réalis 7e en 9’31. Heidi Dutruel, minime 2, prend la 8e place en 9’37. Quel plaisir de voir ces filles enjouées sur le podium!

Seule cadette A inscrite, Alys Mathonnet, après une semaine harassante sur le plan scolaire, termine à la 18e place en 9’24 sur 173 classées.

Dernière course jeunes de la matinée, les mêmes catégories d’âge mais chez les masculins. On assiste à une petite « guéguerre » fratricide chez la famille Leite qui tourne à l’avantage de l’aîné des frères, Théo. Le junior 1ère année, échoue à la 11e place pour une seconde seulement du podium! Son temps 16’52 après deux tours soit: 4835 m.  Rageant quand on sait que son adversaire le double sur la fin! C’est le jeu mais la prochaine fois, c’est promis, Théo se méfiera des concurrents un peu trop  collants!

A ses côtés, son frère Nathan et Timéo Van Cauwenberghe, tous deux partis assez rapidement. Nathan ne peut suivre le rythme imposé par la tête de course où figure le futur vainqueur de sa catégorie., cependant il maintient l’écart, tout comme Timéo. Encouragés par un entraîneur déjà requinqué par les précédents résultats des filles, il donne de la voix pour que ses deux athlètes ne lâchent pas. A l’arrivée, Nathan se classe 5e en 17’13 et Timéo 9e en 17’35. Les deux minimes montant sur le podium. Une satisfaction qui va, une nouvelle fois, ravir le coach, compilation d’un excellent travail mené en amont même si, parfois, les séances font souffrir! Il n’y a rien sans rien!

Samedi après-midi était consacré aux adultes. A la différence de dimanche, les Bastions ressemblaient plus à une douche géante. Des conditions dantesques (froid, vent, pluie). Il fallait être hyper motivés pour enfiler un collant, un maillot et braver ces éléments. Et pourtant, deux licenciés d’Off Course ont pris part à cette Escalade, c’est le couple Réalis Emilie et Gabriel qui a concouru dans de telles conditions. Emilie, master femme 2, termine 169e en 42’01 et son mari, 32e en 28’05. A noter que les époux ont parcouru 7 km 300.

Podium pour Jacques Ozenda au Semnoz

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Seul représentant d’Evian Off Course, Jacques Ozenda participait ce samedi au km vertical d’Annecy,appelé Lavy des Cimes. Un départ au coeur du village de Viuz-la-Chiesaz, et après un peu plus d’un kilomètre sur le bitume, les 428 concurrents s’engageaient directement sur un chemin de plus en plus pentu (4,6 km pour un dénivelé de 1030 m), l’arrivée étant jugée sur le versant occidental du Semnoz avec une vue sur les Aravis, sur le massif des Bauges et le Mont-Blanc. Soixante-quatrième au classement général, l’horticulteur est monté sur le podium terminant 2e chez les masters 3 en 1 h 05’40.

 

Petit resto pour le groupe Diésels

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Hier soir, jeudi, le groupe Diésels sous la houlette de Manu Pinto et Karine Menu s’est retrouvés au restaurant le Zaino pour partager un excellent moment de convivialité autour d’une bonne pizza pour certains, et pour d’autres, pâtes ou risotto, précédés d’un apéritif. Trente-deux parsonnes ont répondu favorablement à l’invitation lancé par les deux comparses. Après ce repas, place à la traditionnelle photo (Merci Ingrid Pinto!).

Margot et Bernard belle cohésion familiale

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En les observant, on ne peut que constater leur très belle complicité. Sportifs tous les deux, humbles, parfois on a l’impression qu’ils ne font qu’un! Depuis septembre, il est comme qui dirait, orphelin. Certes, ils s’appellent, mais l’absence peut-être difficile à combler. Ce week-end, père et fille se sont retrouvés à Montpellier pour partager leur passion commune, la course à pied et, plus exactement, le 20 km de la préfecture de l’Hérault. Un moment magique pour des deux assoiffés de running quel plaisir des les voir évoluer sous les mêmes couleurs!

Voici le résumé du papa, Bernard Guepratte, qui nous fait partagé son ressenti:

« Si tu fais les 20 km de Montpellier, je t’accompagne. Je dois faire un footing tranquille de récup ». Suivant l’humeur, la chose peut s’interpréter comme un plaisir de courir à côté de sa progéniture pour sa première course en tant qu’espoir, où légèrement vexante sachant que j’allais me dépouiller. Finalement, c’était assez juste! Et Margot allait pouvoir vivre enfin la vie du ventre mou d’un peloton. Après un départ devant l’Arc de Triomphe (si, si!) assez rapide et le plaisir de dévaler les ruelles magnifiques de l’écusson, les choses ont commencé à se gâter. Moins il y avait de pavés au sol, plus le parcours était pentu. Montpellier est comme l’escalier sans fin, ça monte tout le temps! Indéniablement j’étais l’élément faible du binôme, et à chaque montée, une vague de concurrents me, puis nous dépassait. Les encouragements et les consignes techniques de Margot n’y faisant rien. Et lorsqu’une spectatrice lançait « bravo mademoiselle, vous êtes 8e à mi parcours », j’ai senti que j’étais de trop, comme un boulet à sa jambe. Le rythme avait été décidé et même lorsqu’une candidate féminine nous doublait, ma fille ne s’accrochait pas! Respect des consignes du coach et des accords passés avec son père. Parfaite coéquipière, c’est à 150 mètres de l’arrivée qu’elle allait craquer avec le consentement paternel.Sur une brève accélération dans une arrivée en forte pente, c’est cinq places qui ont été gagnées pour dégager d’un podium virtuel une autre espoir. Elle aurait manqué d’humilité lorsqu’elle nous avait doublés, m’a confié Margot avec un sourire de connivence. Margot 8e femme et 3e espoir en 1h 34’43 et pour moi, 18e master 4 en 1 h 34’48. Au final, un superbe tracé mais très exigeant »

Merci à toi Bernard pour ce compte-rendu. Je ne sais pas si c’est le hasard, mais vos deux chronos ont un chiffre distinctif « 34 » département de l’Hérault mais les héros ne sont pas fatigués, n’est ce pas?

Challenge de la Montagne Running Conseil 2022

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11 courses, 4 courses Everest dont 4 trails, 1 montée sèche et 6 courses en montagne, voici donc le challenge de la Montagne Running Conseil 2022. La nouvelle course Le Lyaud Trail qui sera Everest ouvrira le bal le 27 mars et on terminera le 25 septembre également par un trail à Musièges qui sera aussi course Everest…

– 27/03 – Le Lyaud Trail (21 km) Everest
– 27/03 – Trail de la Michaille (Ain)
– 09/04 – Montée sèche du Salève
– 22/05 – La Grimpée du Ruisseau Everest
– 03/07 – Grimpée du Môle
– 10/07 – Assaut des Mémises à Thollon
– 06/08 – Trail des Hauts Forts (23 km)
– 20/08 – Le Bélier (27 km)
– 11/09 – Les Foulées Maglanchardes  Everest
– 18/09 – Montée Chedde – Les Ayères
– 25/09 – Trail de Musièges  Everest

 

Toutes les courses marquent les points suivants : 20-18-16-14-12-11-10-9-8-7-6-5-4-3-2-1

Les Courses Everest marquent le double de points.
4 courses obligatoires pour être classé dont 2 Everest
Prise en compte des 6 meilleures courses maximum dont 2 Everest obligatoires.
Les Juniors hommes et Femmes seront classés sur 4 courses minimum dont une Everest obligatoire.
La course du trail de Musièges servira à départager les éventuels ex-aequo.
A ceux qui participeront à plus de 6 épreuves, il sera attribué deux points de bonus supplémentaire par course et ceci à partir de la 7ème.

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